un monde se meurt, un autre tarde à naître
Hier, sur le marché bio d’Albi, une électrice m’interpelle : « je suis de gauche. Donnez-moi une raison, la raison, qui pourrait me convaincre de voter pour vous ». Exercice difficile, auquel l’ensemble de mes concurrents et adversaires ont dû aussi être confrontés dans cette campagne. Je me suis dit que l’idéal aurait peut-être été de lui répondre en un seul mot. En lui disant, par exemple, le vote pour moi, c’est le vote… C’est le vote quoi d’ailleurs ? Car dans notre démocratie, il en (...)