un monde se meurt, un autre tarde à naître
Chers ami-e-s je ne suis pas ici par hasard. Alors que dans tous les villages de France on commémore les soldats tombés sur le champ de bataille, j’ai décidé consciemment que ma place était avec vous et au côté de mes amis verts allemands et de toute l’Europe pour honorer le sort des mutins sacrifiés de 1917. Ces hommes considérés comme des traitres à leur patrie, la France, n’étaient ni des pacifistes, ni des révolutionnaires dans leur immense majorité. C’étaient des soldats du rang qui, sous (...)