un monde se meurt, un autre tarde à naître
Ce matin, distribution de tracts sur le marché pour la campagne régionale de Julien Bayou et Benoit Hamon. On n’échappe pas aux quolibets sur l’affaire des « boomers ». Julien Bayou a eu l’honnêteté de se reconnaître « responsable » de la scandaleuse affiche pondue par une officine de com’ pour la campagne des écologistes franciliens : « Les boomers, eux, ont (...) (Lire la suite )
Ces temps-ci, les épithètes contre les zécolos se multiplient décidément : rigolos, fantaisistes, farfelus, complotistes, obscurantistes (JC Lagarde), sectaires, des invectives plus graves : ayatollahs verts (Dupont-Moretti), écofascistes... La dernière salve en date est signée du Président de la République lui-même qui ironise avec ses gros sabots sur le modèle (...) (Lire la suite )
Le choc de la situation actuelle créé par la Covid, qui paralyse les relations humaines et sociales, est une lourde menace pour le monde et les démocraties. Mais, ne nous dit-on pas à longueur de tout : la crise économique est la plus lourde des menaces, car nous sommes là pour servir l’économie. Nous qui croyions-nous naïvement que l’économie était au service (...) (Lire la suite )
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine - Les animaux malades de la peste) Période 2 Semaine 3 Ici, à la maison, après deux semaines de solitude, c’est toujours la sidération, mais c’est aussi une fatigue qui s’installe. Comment vivre en toute tranquillité cette parenthèse géante, dans laquelle s’infiltrent, (...) (Lire la suite )
Depuis ma zone d’inclusion, que je préfère largement à « confinement », j’ai été justement amené à réfléchir à ce fameux confinement. Notez tout d’abord que c’est un mot auto-oxymore, c’est à dire qu’il contient une chose et son contraire : con et finement. Si ça ne vous apparait pas immédiatement, inversez donc les termes : finement et con. Il y a bien sûr pas mal de (...) (Lire la suite )
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine - Les animaux malades de la peste) Période 2 Semaine 2 Dans mon cocon de verdure, un calme éternel semble être tombé du ciel, ou bien surgi des profondeurs de la terre. Ma maison dans la prairie était déjà silencieuse, mais là, il n’y a que la nature qui parle. (...) (Lire la suite )
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine - Les animaux malades de la peste) Mi-mars Le 12, il nous parle, notre Président. Avec beaucoup de componction, il félicite le dévouement du personnel soignant qui fait un travail si extraordinaire dans les hôpitaux. Je suis scandalisées : cela fait 20 ans qu’il continue, comme (...) (Lire la suite )
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine - Les animaux malades de la peste) Début mars A Mulhouse, suite à une semaine de prière et de jeûne organisée par une église évangéliste, rassemblant 2000 personnes mi-février, il y a tout d’un coup plusieurs contaminations, et le 7 mars, les écoles sont fermées pour éviter que le (...) (Lire la suite )
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine - Les animaux malades de la peste) Début février L’Italie est touchée, ainsi que l’Iran, et il paraît que les cas se multiplient très vite. Pourquoi ces deux pays plutôt que d’autres ? Peut-être parce qu’ils ont eu plus de contacts ces derniers temps avec la Chine ? En tous cas on (...) (Lire la suite )
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine - Les animaux malades de la peste) Mi-janvier Des familles d’expatriés français reviennent avec ceux de leur proches venus les voir en Chine pendant les fêtes de fin d’année, car ils ont peur pour leur santé. Il se passe quelque chose. Il semble qu’une épidémie commence là-bas. Le (...) (Lire la suite )
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